21 septembre 1937
Inscrit maritime levé pour le service militaire
21 septembre 1937
Matelot de 2ème classe sans spécialité
21 septembre 1937
à
10 octobre 1937
10 octobre 1937
à
1 avril 1938
Armorique ( Navire école )
1 avril 1938
Matelot de 2ème classe breveté élémentaire gabier
1 avril 1938
à
30 avril 1938
30 avril 1938
à
1 septembre 1939
1 septembre 1939
à
18 janvier 1940
18 janvier 1940
à
18 mai 1940
Buffle ( Remorqueur ) (Direction du port de Brest)
18 mai 1940
à
14 septembre 1940
1 juillet 1940
Quartier-maître de 2ème classe gabier
Jean Laborde ( Paquebot )
25 mars 1942
Engagement : FNFL pour compter du 20 janvier 1942
25 mars 1942
à
1 avril 1942
CPL (Compagnie de passage des FNFL à Londres)
1 avril 1942
à
30 mai 1942
30 mai 1942
à
21 avril 1943
Léopard ( Contre-torpilleur )
21 avril 1943
à
1 février 1944
1 février 1944
à
26 juin 1944
26 juin 1944
à
5 décembre 1944
1 octobre 1944
Quartier-maître de 1ère classe gabier
5 décembre 1944
à
28 février 1945
28 février 1945
à
1 mai 1945
1 mai 1945
à
22 février 1946
2ème Dépôt (Brest - La Villeneuve)
22 février 1946
à
5 août 1946
Inscrit maritime levé pour le service militaire le 21 septembre 1937, Joseph Choquer suivit une formation de gabier sur le navire école Armorique à Brest à partir du10 octobre 1937. Il en sortit le 1er avril 1938 breveté élémentaire dans cette spécialité.
Renvoyé dans ses foyers le 14 septembre 1940, il navigua par la suite sur le Jean Laborde, paquebot des Messageries maritimes.
Le 25 mars 1942, Joseph Choquer signait son engagement dans les FNFL pour la durée de la guerre pour compter du 20 janvier 1942, ce qui laisse supposer qu'il avait rallié la France libre dès cette dernière date.
On constate des différences entre les informations fournies par l'état signalétique et des services de Joseph Choquer (cf. chronologie supra) et celles qu'il donne dans sa demande d'admission dans l'Association des Français libres après la guerre (cf. document joint) :
- Après son ralliement le 21 janvier 1942, il mentionne un embarquement de février à avril à bord de l'Ouragan. Ce torpilleur servait alors de dépôt des équipages à Portsmouth.
- Il ne mentionne pas son passage par la CPL (Compagnie de passage à Londres) qui s'occupait de l'incorporation des marins ralliés.
- La date qu'il indique pour l'embarquement sur le Léopard (1er avril 1942) ne correspond pas à celle retenue dans l'état signalétique et des services (30 mai 1942). Même constatation pour la date de débarquement : 15 juin 1943 au lieu du 21 avril 1943. Ce détail n'est pas sans importance, car, dans la première hypothèse, Joseph Choquer aurait été à bord du contre-torpilleur au moment de sa perte consécutive à un échouage près de la côte libyenne le 24 mai 1943.
- L'affectation de Joseph Choquer à Marine Diégo-Suarez après son débarquement du Léopard conforte plutôt la deuxième hypothèse, car les naufragés du Léopard ont ensuite été dirigés sur Alexandrie puis, souvent, sur Beyrouth.
- Les dates fournies par Joseph Choquer pour l'embarquement sur le remorqueur FNFL du canal de Suez Hercule (juin 1943 - octobre 1944) et son affectation à la caserne Drogou à Beyrouth (octobre 1943 - décembre 1944) sont manifestement erronées en raison d'une confusion entre les années 1943 et 1944. Ces deux affectations doivent s'inscrire dans les dates fournies par l'état signalétique et des services pour l'Unité Marine Egypte (février - juin 1944) et l'unité Marine Beyrouth (juin - décembre 1944).
Joseph Choquer était le frère de Jean Choquer.
Recherches complémentaires :
- Circonstances du ralliement à la France libre.
[Mise à jour : 12 novembre 2024]
